Comte d'Yrindal - Tobias Luther Mozanor

Projection de la peur : Capacité de sentir et de lire les craintes des autres êtres afin de les utiliser contre eux grâce à la création d'illusion psychique.

Télépathie : Capacité à entendre les pensées des autres et de permettre aux autres d'entendre les siennes s'il le désire. Il maîtrise parfaitement ce pouvoirs, mais il peut lui arrivé en cas de fatigue intense de se faire submergé par les pensées des créatures l'entourant ce qui a tendance à la rendre instable avec de gros mots de tête.

Particularités liées à sa race : Tobias est un vampire, il est donc extrêmement rapide, il a le pouvoirs de guérison par le sang, il lui suffit donc de se nourrir de sang pour se soigner. Il peut également se transformé en animaux nocturne, étant un des vampires les plus anciens d'Azmar il est capable de prendre l'apparence de plusieurs animaux étant le loup, la chauve-souris et en serpent de race Boa constricteur.

Lorsque je suis arrivé au château des Mozanor pour la première foi, je revu le plus bel homme que le monde n'est jamais créé et aussi un des plus anciens. Sa longue chevelure corbeau me sautât aux yeux,, son regard... Il semblait pénétrer votre âme et la glacer de l'intérieur, pourtant je ne put détourner mon regard du sien, comme envoûte par le rubis pur et intense. Et son charisme, je vous en ai parler ? Même devant une salle comble, dès qu'un mot sortait de sa bouche, le silence s'imposait comme une obligation, ses lèvres fines et son sourire emplie de sournoiserie promettait à quiconque se dresserait sur sa route les pires souffrance du monde. Mais malgré ça, quant il s'approcha de moi je me sentit défaillir, mes jambes tremblé, se n'était pas de la peur mais de l'envie, celle de le toucher, de l'embrasser. Sentir encore une foi ses mains douces et fortes sur mon corps, ses lèvres posséder les miennes tel un dieu des ténèbres. Il me présentât ce jour là au reste de sa famille, habiller de vêtements noble comme à son habitude, le noir et le rouge qui dominait sur son corps musclé lui allait à ravir et il le savait. Toutes les femmes vampires qui nous entouraient rêvait de l'avoir pour une nuit, une journée entre leurs draps, mais il était à moi. Plu-tard on se promis amour et respect jusqu'à ce que le mort nous sépare, et c'est ce qu'elle fit, lui laissant la marque de se souvenir à jamais graver sur son corps par de multiples cicatrices tatouant son tors et son dos... Adieu mon amour...

Que vous dires de mon maître? Le définir en quelques phrases est impossible. Je vais cependant vous dire une chose, faite attention. Chaque mot, chaque phrase et surtout chacune de vos réponses ont un sens caché, et il les entends, les tournes à son avantage. C'est quelqu'un qui est sur de lui, arrogant selon certaine personne, mais ne lui dites jamais si vous voulez garder votre tête là où elle est. Il aime la violence et ne laisse pas ces sous-fifre torturer ses ennemies à sa place, c'est un plaisir trop grand pour être délégué. Il est intelligent et fin stratège, rare son les personnes qui on la chance de lui tenir tête et de s'en sortir sans heurts.
Il adore les arts, collectionne beaucoup d’œuvre récupéré dans le monde. La peinture est une des ses tares.
Le comte n'aime pas grand monde, les hématome que vous voyez sur mon visage est la preuve qu'il tient un temps soit peut à moi, sinon je ne serait plus, cependant, il connu l'amour par le passer. Un femme belle comme la nuit pour qui il aurait tout fait, c'est ça quant le grand maître est amoureux, il devient possessif et ne supporte pas que l'on convoite ce qui lui appartient. Quiconque l'approchait perdait la vie instantanément et sans préavis. A la mort de la comtesse il perdit la tête et son cœur devint dur comme de la pierre, son charisme et son attirance est toujours là, mais il n'a plus cet envie de trouver et partager sa vie avec d'autre femmes et surtout pas avec une vampire.

Quant j’étais petit, mon père, le comte Luther V. Mozanor qui faisait partie des vampires premier nés de la création, m’appelait Vis-Comte et ma mère, Altara F. Mozanor, altesse. Ce n'est pas chez nous autres vampires que vous verrez quelques marque d'affection que se soit. Je n'ai jamais connu autre monde qu'Azmar, mon île, ma vie. Je me souvient encore des créatures qui se plaignaient des humains du monde extérieurs, je me rappel de la beauté de la déesse et de son frère, je me souvient de leurs disparition et le la guerre.
Mais pour parler plus directement de moi, j'étais destiné à prendre la place de mon père à la mort de se dernier, alors selon mes parents, il fallait que j'entre au plus tôt dans mon rôle. Arrivé à ma majorité Vampirique qui tourne autour de nos 1500 ans, et voyant que ce vieux croulant édenter ne daignait pas périr, je pris la décision de prendre les devants en lui coupant la tête avec l'épée qu'il me donna lord de mon 500ème anniversaire devant le regard effaré de ma mère à qui j’arrachât les yeux afin d'en faire mon soupé. Aveugle, elle fut vite banni de chez nous, car devenu inutile à la population vampirique, aujourd'hui je ne sais pas ce qu'elle est devenu et pour vous dire vrais, peut importe, ça ne change rien à ma vie.

Quelques années plus tard alors que j’atteignais les 2 500ans, je rencontras Carly, une vampire au tempérament de feu, de classe noble. Contrairement à toute ces autres vampires plate et sans cervelle qui m'entourais, elle se détachait du lot par son amour de l'art, qu'elle me fit partager. Dans ma subtilité je n'osa pas lui dire tout les instruments que je savait jouer, ni que le nombre de peinture que je faisait, je la laissait me faire découvrir son monde et compris bien vite que ce bout de femme changerais ma vie. Elle connaissait toutes les couleurs de ce monde, elle parcouru la terre avant de me connaître. Je l'épousais un dizaine d'années plus tard.

Cependant la guerre des dieux débuta et je l'a perdit une après-midi ou le soleil était haut dans le ciel. Je n'était pas encore à Yrindal à l'époque, nous vivions à Ephilord. Ce jour là, des soldats sont venu dans notre ville ayant appris que des vampires y séjournait et qu'ils y avait même pris le pouvoirs. Ils vinrent par milliers et terrassèrent notre ville, après un long combat qui me laissa une belle cicatrice, j'ai eue la chance de pouvoir m'échapper grâce à mon dévoué serviteur mais avant de partir, je vie ma femme, là, au milieu de la grande coure. Ils la firent sortirent devant tout les soldat et prirent plaisirs à la voir brûler vive, elle implorait leurs clémence et m'appelait à l'aide. Malgré mon amour pour elle je ne put rien faire, ma vie était plus importante pour la communauté vampirique. Je tourna donc les talons à regrée et nous partîmes en direction d'Yrindal, anciennement Yrinidir. Une foi arrivé là-bas, après plusieurs jours de marches, la ville était encore aux mains des Amazones qui quittaient les lieux petit à petit à cause de sa nuit quasi permanente, ce qui nous arrangeait bien. Nous prirent donc place entre ces murs où petit à petit nous prîmes le pouvoir. Je devint le comte d'Yrindal et dût asseoir mon pouvoir par la violence. Après quelques morts, les autres habitant vampires me promettaient allégeance.

C'est durant une des mes promenades régulière dans ma nouvelle ville que je découvrir le puits au mort, lors de chacun de mes passages j’entendais comme un râle venir du fin fond de la terre. Et lors d'une nuit éternelle, un autre vampire me suivie et tenta de me tuer non loin du puits. Nous nous battîmes tel des acharnée, puis, d'un geste voulu, je le précipita dans ce dernier, ce qui en sortie me fit faire plusieurs pas en arrières. Une bête de plus de 5 mettre étais là, face à moi, se nourrissant du traître qui avait tenter de me tuer. Une sorte de serpent de tailles géante avec des dents qui rendrait jaloux n'importe quel vampire. Je décida de m'y rendre chaque jour et de nourrir la bête afin de tenter de l'apprivoiser. Je vit le résultat de mes efforts plusieurs année après, la guerre n'était plus, mais certaines personnes continuaient de vouloir éradiquer certaine race de la surface d'Azmar. C'est là que des soldats vinrent à Yrindal, à la vu de leurs armures je suis que c'était ceux qui nous avait chasser d'Ephilord quelques années plus tôt, mais quant je fit lever mon armée aucun de mes hommes nuent le temps de se battre que la bête les avaient déjà tous dévorés. Puis, le ventre plein, elle vint se coucher auprès de moi, tel un animal profitant de la présence de son maître pour se reposer. C'est à ce moment là que je compris que nul être ne pourrait entrer en ces murs sans mon accords. J'étais enfin le maître de ces lieux, et même sont unique protecteur le voyait et l'attestait, plus personne ne pourrait me détrôner.

Aujourd'hui, je règne d'une main de maître sur Yrindal, personne n'ose s'opposer à moi sous peine de perdre la vie et tout le monde rêve de venir aux bals que je proposes chaque années. Nous sommes loin des guerres et des traques que nous avons vécu par le passer, mais pourtant je ne me suis jamais sentit aussi seul. Une solitude nécessaire pour garder ma place.
Je suis le comte Tobias L. Mozanor, fils de Luther V. Mozanor, premier nez des vampires d'Azmar et bientôt je régnerais sur cette île.