Isil née au clair de lune

Médiumnité  : entendre ce que peuvent dire les esprits et les fantômes

Guérison : Possibilité de guérir les autres ou soi-même

Particularités liées à sa race : Je suis lié à la nature,  forte résistance à la vieillesse et je tombe que très rarement malade, je suis douée dans la création de potions et poisons. Je suis également rapide et agile.

Je suis élancée, j’ai les cheveux blanc, j’ai la peau clair, d’ailleurs le soir on peut voir un tatouage dans le dos qui se reflète à la lumière de la lune, il représente une demi-lune avec des écritures autours que personne jusqu'à présent à réussie à déchiffrer. J’ai la peau fine, un visage fin, mes oreilles sont pointues mais pas trop grande, je porte aussi des bijoux en mithril couvert d’émeraude fabriqué dans un région lointaine commandé par mon père.

Je suis calme, douce, j’ai un petit caractère qui c’est forgé avec le temps,  je peux être jalouse, possessive, je ne lâche pas mes amis et les défends comme je peux, je ne suis pas méchante pour un sous mais j’ai un grand courage. J’aime la nature, la végétation, les animaux, j’ai l’impression d’être en communion, avec eux. J’aime les dragons d’ailleurs j’ai un petit dragon comme animal de compagnie qui me suis presque partout.

Mon père, Aerendyl Parora, est né à Rivérel il y a fort longtemps. Les rumeurs disent que son frère Elwyn et lui feraient partie des premiers Elfes créés au monde. Mais eux-mêmes ne savent plus si ces dirent sont vrais ou pas. Il faut dire que si c'est vrai alors ils auraient plus de 190 milles ans, arrivé à cet âge, je pense que l'on a le droit d'avoir des pertes de mémoire. Il rencontra ma mère, Alvaerelle Yllanan, peut de temps avant la guerre, elle était toute jeune à l'époque alors que lui avait déjà pas mal vécu et connu d'autres femmes. Ils se marièrent à peine un an après leurs rencontres et eurent mon frère 4 ans après. Oui mon frère Ayre a également connue la guerre, il a même grandit en même temps qu'elle avançait. Pour vous dire, mon frère à actuellement 1805 ans, alors la guerre, c'était sa vie. Durant cette guerre, mon Oncle, roi d'Azmaria, était dans les rangs des Deadriens, ceux qui luttaient au-côté de la grande déesse, alors que ma famille avaient rejoins les rangs de Bathôr et de ses adeptes. Elwyn banni alors ma famille d'Azmaria durant la grande guerre, mon père fit son nid au-côté de notre dieu et devint très vitre grand prêtre de l'ordre de Bathôr. Depuis, mon oncle et mon père ne se parles plus, personnellement je ne l'ai jamais rencontré. Nous sommes interdit de séjour à Azmaria, ville soit disant ouverte à tous peuple d'Azmar... Mouais.
Pour en venir à moi, je m'appelle Isil et je suis la petite dernière de la famille Parora, j'ai actuellement 110 ans, ce qui est très jeune pour une Elfe, je suis presque une enfant, physiquement cependant, on me donnerais 20 ans. Née au domaine d'Archalioss, au pied du pic de Talion, je grandie au sein de ma charmante famille.
Petite princesse, je fais ce que je veux et quand je le désire. J’embête mon frère, fais tourner en rond mes parents, rend presque fou les serviteurs et les nourrisses qui s'occupe de moi qui tente de m'inculquer les bases de la religions Bathôrienne, j'ai une enfance normal pour une enfant grandissant dans le domaine d'Archalioss. Mais voilà, je grandie et le temps me rattrape, on finit par me faire comprendre que ma vie tourne autour de mon rang, que je dois me tenir plus tranquille, je dois m’assagir car j’ai une destinée. Là où mon frère à dût devenir un protecteur Bathôrien, ceux qui défendent notre cité, nos murs, moi je vais devoir devenir prêtresse Bathôrienne... Mon rôle est de prendre la place de mon père après sa mort, il n'est plus tout jeune, et avec tous ceux qui veulent sa peau, ça pourrait arrivé plus vite que prévue.
Je monte alors aux tours d'Archalioss, lieu gardé par les cavaliers noirs dont fera partie mon frère après sa mort, c'est également ici que les prêtres et prêtresses sont formé et prie Bathôr. Je m'y fais de nombreux amis pourtant je continue de jouer comme toute les petites de mon âge,  du moins ailleurs qu'ici. On m'apprend alors plus précisément les croyances Bathörienne, je lui rends hommage au temple quant personne n'y pris, on m’interdit littéralement de penser autrement. C'est même interdit par les lois du domaine d'Archalioss... Mais cependant ma curiosité prend le dessus sur toutes ces règles et lois. En secret je m'informe sur d'autre cultures, d'autre croyances, d'autre villes et d'autre mondes...
A ma majorité Elfique, 100 ans, sans me demander mon avis, père me fait prêtresse Bathôrienne... Je suis alors obligée de porter ses couleurs, le blanc et le rouge... Je suis obliger de rester vierge pour notre dieu, ne dois montrer mon visage à personne si se n'est au autre prêtre et prêtresse... Je suis alors obliger de rester au temple, j'y vie, j'y prit et ne fait plus rien d'autre... Mais vie devient alors monotone, mais en secret je rêve d'ailleurs, de plus, de différent. J'ai parfois l’impression que Bathôr me parle puis je me dit que c'est sûrement le vent s'écrasant sur les murs des tours... Plus le temps passe, plus je doute, je ne sais plus où j'en suis dans mes croyance mais je fait bonne figure.
Aujourd'hui, ça fait maintenant 10 ans que je suis au service d'un dieux dans lequel je ne crois plus... Je réussi à ma procurer des ouvrages interdit ici, parlant autrement de la déesse Daedriel, je me rend compte que peut-être on a choisie la mauvaise vois... Peut-être qu'il y a mieux ailleurs...  Là où Bathôr demande une fidélité sans faille, des prières chaque jours, plusieurs fois par jours, une pureté à toute épreuve pour le contenter lui... Daedriel semble laisser libre ses adeptes, ne leurs oblige à rien si ce n'est traiter son prochain en égale... Je ne dis rien à personne, mais cette façon de pensé me plait de plus en plus. Ici on a pas le droit de panser différemment des autres sinon on risque la peine de mort, alors je me confie à Ergon, mon dragon, il est encore petit et ne mesure pas plus de 30 centimètre de haut, il n'a pas encore craché sa première flamme non plus, mais je peut tous lui dire. De puis 2 ans que je l'ai, je me sent moins seule, il faut dire que je ne peut pas me confier à ma famille et encore moins à mon frère...
Je vie avec ce secret qui me ronge, je rêve également d'amour, du grand amour... Et pourtant en temps que prêtresse je sais que ce genre de chose m'est interdite, pas temps que je ne serais pas grande prêtresse... Je me prépare alors à quitter ma cité, ma famille et mes amis, je n'y suis plus à ma place, je veux plus